« INVOLUTION DES LICHENS » par Émilien ADAGE

ANGLE Art contemporain vous invite à découvrir autrement l’exposition « Involution des lichens » par ÉMILIEN ADAGE en collaboration avec le GAC (Groupe d’art contemporain) d’Annonay (07).

Du 3 avril au 7 avril 2023, Émilien Adage invite Rémi Voche à la galerie Angle art contemporain pour une résidence de recherche. Durant quatre jours et quatre nuits, les deux artistes bivouaqueront dans l’exposition comme s’ils étaient en forêt. L’enjeu est de créer un espace d’expérience par l’activation de sculptures, de mises en place d’actions et de situations.
Dans ce contexte, plusieurs rencontres seront possibles, celle de leur pratique respective ou celle avec les œuvres de la collection artothèque. Comme l’algue et le champignon formulant le lichen il y a des millions d’années, cette résidence est avant tout, pour les deux artistes, l’occasion de travailler ensemble.
Les jours et les heures d’ouverture de la galerie ne changent pas et toutes les visites sont accueillies pour des rencontres avec les artistes et provoquer d’éventuels motifs supplémentaires.

Venez nombreux-es découvrir l’exposition en mouvement.

BIOGRAPHIES

ÉMILIEN ADAGE (1985) vit et travaille en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Après avoir obtenu un DNSEP en 2008 à l’école d’art d’Annecy, son travail apparaît au sein d’expositions personnelles et collectives dans différentes institutions culturelles (La Halle de Pont-en-Royans, La Villa Arson à Nice, le centre d’art Bastille de Grenoble, La Villa du Parc à Annemasse, la Galerie Tator à Lyon, Mains d’Œuvres à Saint-Ouen, l’Assaut de la menuiserie à Saint-Étienne…).
Co-commissaire d’exposition et codirecteur artistique au sein de la structure Solarium Tournant qu’il a cofondée avec Anthony Lenoir ; Émilien Adage est à l’initiative de projets de résidences d’artistes et d’expositions dont l’objectif est un dialogue entre le patrimoine historique de la ville d’Aix-les-Bains et l’art contemporain.

RÉMI VOCHE (1983) vit et travaille à Paris
« Rémi Voche concentre sa pratique autour de la photographie et de la performance, les deux étant intimement liés par l’idée de l’empreinte et de la mise en scène. Il sème des traces de pas de côté, des traces de fuite, et les laisse se développer dans nos imaginaires. En prenant une place de médium, en renouvelant nos perceptions, en ré-électrisant l’espace, peut-être cherche-t-il à nous faire vivre un réveil. Peut-être que nous devrions commencer à courir dans une autre direction.» Extrait du texte de Charlotte Concordel

Dossier de presse, ici